Ce spectacle n’est plus disponible.
Il a évolué et est devenu
le 10ème Récital

C’ÉTAIT LA ROSE ROUGE

Ce spectacle évoque une soirée au cabaret Rive Gauche « la Rose Rouge », où se produisaient des artistes de plusieurs spécialités : chanson principalement bien entendu, mais aussi diseurs, mimes, magiciens et acrobates sur la minuscule scène  du cabaret bondé ( les plateaux de boissons se passaient de main en main, tant le public y était serré ! )

Notre soirée accueille en vedettes exceptionnelles Les Frères Jacques, qui en réalité y firent leurs premières apparitions et par amitié y revinrent souvent avec un répertoire d’une incroyable richesse.

Mais il y a un hic… un très gros hic…

Mais là c’est une autre histoire : celle du fil ( rouge !) que nous avons déroulé et que nous vous proposons d’écouter et voir…

Par quel bout aborder le célèbre quatuor aux arrangements « piano-plus- 4voix » subtils  et surtout avec des gesticulations jamais (ou si mal) imitées ? On a tous dans un coin de la mémoire « La queue du chat », « La confiture » et autres succès auxquels nous avons décidé d’échapper tant elles sont à tout jamais la propriété absolue des Frères Jacques. Notre obsession a surtout été de ne jamais « faire le Jacques ». Alors reste un répertoire fascinant, aux textes éblouissants de poésie, avec des personnages cocasses dans des situations surréalistes. Pour en extraire « tout le jus » il restait à notre portée une volonté de théâtralisation : tout ce qui peut être dit devient source de gags vocaux  et loufoqueries diverses… accompagnées au piano-farce par Christophe LASNIER, virtuose de formation classique, et soutenu par les mimes, danses et acrobaties d’Aline DELANE . Occasion unique de découvrir le très grand niveau de l’exigence artistique des Frères Jacques. D’ailleurs ils ont « usé » une énorme quantité d’auteurs dont certains célèbres : Prévert, la Fontaine, Ricet Barrier…

Un parcours réjouissant dans le meilleur de la Chanson Française

JP Rolin

Nietzsch disait: « Nous avons l’art pour ne pas mourir de la vérité. »  Alors vive l’art et tant pis pour la vérité !

Avec:

Rose: Aline DELANE, comédienne acrobate.

« Passionnée d’équitation et d’acrobatie depuis mon plus jeune âge, c’est en 1999 à l’âge de 21 ans que j’ai réalisé mon rêve en intégrant une troupe de cirque théâtre équestre.
Je me suis donc formée à la voltige cosaque et traditionnelle, la jonglerie, la danse ainsi qu’à la comédie. Par la suite, j’ai parcouru les routes d’Europe me produisant en spectacle de rue avec mon mari et mes enfants, et ce, pendant 7 années.
Depuis 2010, j’ai posé mes valises de saltimbanque en Dordogne, ma terre natale, où je me consacre au théâtre, à la danse et à l’équitation. En plus de ma vie de comédienne, j’enseigne aux enfants l’art du cirque et du théâtre.

Pierre Hubert Philippe: Christophe LASNIER, comédien, pianiste.

Regard chorégraphique: Charlotte LASNIER

Mise en scène de Jean Paul ROLIN: A l’issue d’un CAPES de physique, cet individu bizarre préfère « monter à Paris » plutôt qu’enseigner les bases de l’électricité à des lardons démotivés. Quelques années plus tard on le retrouve directeur artistique à l’ARC-CLICHY (fleuron des structures Léo Lagrange): résidences et programmation d’un festival de BD, d’un festival de musiques improvisées, directeur d’une compagnie amateur… C’est là qu’il rencontre Michel Lagueyrie avec lequel il fait un bout de chemin qui aboutit en 1983 à la Gaïté Montparnasse (Voyeur) et en 85 à L’Olympia (Rouleur). Au hasard des tournées avec Michel, plusieurs croisements avec « Le Quatuor » créent des liens d’amitié qui se concrétisent par la mise en scène en 1990 du spectacle « Violons dingues » au Tristan Bernard et un « Molière » en 91… Huit ans comme premier metteur en scène du Quatuor, il n’en fallait pas plus pour décider d’une carrière dans « l’humour musical » ! C’est à cette époque qu’il renoue avec les bases de l’électricité et la pédagogie et devient pigiste dans la revue Sono Magazine en tant que spécialiste reconnu (tests lumière et vitesse des mouvements des projecteurs asservis)

Pendant douze ans (86-98) il est directeur technique du Centre des Bords de Marne au Perreux (94170).

Jean Paul est un inconditionnel du Festival Off d’Avignon où dès 1976 il met en scène Moussa Lebkiri (Une étoile dans l’œil de mon frère) puis quelques spectacles de one man show de 84 à 90. Mais surtout de 91 à 99, il installe avec sa propre compagnie en Off-Avignon  le « Salon de Coiffure », un petit théâtre de 70 places.

En 1993, il met en scène les talentueux saxophonistes des DéSAXéS dans « Mise à Sax ». Puis 95 les cinq musiciens Nantais de VICTOR RACOIN lui font passer une audition de metteur en scène qui sera à l’origine de « Ça c’est d’la musique » (mars 96 à La Potinière) puis à « 36 manières de… », un éclatant succès du Off-Avignon 98, puis à deux reprises au Studio St Germain à Paris.

En 2000, il migre en Dordogne et y installe à St Astier, le théâtre de La Poivrière, lieu de résidences théâtrales et de tests sur le matériel d’éclairage.

Durée 1h15 environ.

Télécharger le dossier technique ici.

Spectacle pouvant être totalement techniquement autonome.

Photos du spectacle réalisées par Stéphane Berriot:

Stanislas, la chanson de Ricet Barrier et Bernard Lelou lors de la 1ère du spectacle et plus bas, Anthropophagiquement votre de Francis Mainville.

Chansons filmées par Stéphen Dulon.

Spectacle tout public, créé au théâtre de La Poivrière à St Astier (24).